
MORT DE LA FILLETTE DE LAVAL: LA MÈRE FORMELLEMENT ACCUSÉE
Le mort de la petite de Laval qui a soulevé l'indignation le 3 janvier dernier est résolue. C'est la mère qui est accusée de la mort de la fillette de sept ans. Elle a été arrêtée vendredi et accusée de négligence criminelle et de voies de fait causant la mort. Étant donné que l'enquête se poursuit, certains détails ne peuvent être divulgués.
La porte-parole du Service de police de Laval (SPL), Stéphanie Beshara, a affirmé: « Elle a été arrêtée ce matin à 6 h 55, au quartier général ». Les gestes de négligence causant la mort de la fillette qui lui sont reprochés se sont produits entre le 30 décembre 2020 et le 3 janvier 2021 et les voies de fait se seraient déroulées entre le 1er juin 2020 et le 3 janvier 2021.
Vendredi, la mère a subi un très long interrogatoire avant de comparaître devant un juge au palais de justice de Laval. Un interprète a été obligé de traduire les dires de la femme en raison de sa langue étrangère. Elle demeurera détenue, le ministère public a considéré que la « gravité des infractions » était trop grave pour la remettre en liberté. Lundi, elle comparaîtra à nouveau devant le juge.
L'identité de la femme ne peut être dévoilée pour ne pas permettre l'identification de la jeune victime.
Une autopsie a été pratiquée mais la police va attendre d'avoir les résultats d'expertise avant de dévoiler les détails de la mort de la fillette.
Pour rappel, c'est le 3 janvier que la fillette a été transportée à l'hôpital suite aux blessures atroces qu'elle a subies. La mort de la fillette datait de plusieurs heures et ses blessures n'étaient pas récentes. À l'arrivée des premiers répondants, son corps était déjà rigide. L'appel au 911 avait été fait du domicile de la fillette par des proches qui vivaient avec elle. Six personnes étaient sur place quand les policiers sont arrivés. Rendue à l'hôpital, elle présentait des brûlures au deuxième degré sur 80 % de son corps. Selon l'enquête, elle aurait été brûlée par de l'eau bouillante. Son petit corps était tailladé et elle avait un bras dans le plâtre.
La porte-parole du Service de police de Laval (SPL), Stéphanie Beshara, a affirmé: « Elle a été arrêtée ce matin à 6 h 55, au quartier général ». Les gestes de négligence causant la mort de la fillette qui lui sont reprochés se sont produits entre le 30 décembre 2020 et le 3 janvier 2021 et les voies de fait se seraient déroulées entre le 1er juin 2020 et le 3 janvier 2021.
Vendredi, la mère a subi un très long interrogatoire avant de comparaître devant un juge au palais de justice de Laval. Un interprète a été obligé de traduire les dires de la femme en raison de sa langue étrangère. Elle demeurera détenue, le ministère public a considéré que la « gravité des infractions » était trop grave pour la remettre en liberté. Lundi, elle comparaîtra à nouveau devant le juge.
L'identité de la femme ne peut être dévoilée pour ne pas permettre l'identification de la jeune victime.
Une autopsie a été pratiquée mais la police va attendre d'avoir les résultats d'expertise avant de dévoiler les détails de la mort de la fillette.
Pour rappel, c'est le 3 janvier que la fillette a été transportée à l'hôpital suite aux blessures atroces qu'elle a subies. La mort de la fillette datait de plusieurs heures et ses blessures n'étaient pas récentes. À l'arrivée des premiers répondants, son corps était déjà rigide. L'appel au 911 avait été fait du domicile de la fillette par des proches qui vivaient avec elle. Six personnes étaient sur place quand les policiers sont arrivés. Rendue à l'hôpital, elle présentait des brûlures au deuxième degré sur 80 % de son corps. Selon l'enquête, elle aurait été brûlée par de l'eau bouillante. Son petit corps était tailladé et elle avait un bras dans le plâtre.
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On avait constaté qu'elle était absente à l'école depuis quelques mois. Selon des sources, elle avait un trouble du comportement, ce qui lui faisait faire des crises. Elle était connue de la DPJ pour ses problèmes en lien avec sa particularité mentale.
La Commission de droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) fait également une enquête de son côté. La CDPDJ affirme: « La protection des enfants est l'affaire de tous et toutes au Québec et toute personne qui a des inquiétudes concernant un enfant doit faire un signalement ».
Crédit: La Presse
ANDRÉE LABELLE
15 JANVIER 2021 (21H36) |